Sousnotre trĂ©pidante aurore, Qyl donc, depuis des mois entiers, A le temps de tremper encore Une plume dans l'encrier 1 Qui, dans une Ă©poque pareille Et dans un semblable dĂ©cor, pourrait laisser, sur son oreille, Une plume rĂȘver encor 1 Parlez-moi d'un bon stylographe : Ça, c'est moderne et c'est complet ; Ça court, ça vole et ça s'agrafe Au coin des poches de gilet ; Ça ne Travaillerpour Paris MusĂ©es; Publications rĂ©centes; Presse; Les Paris de l'art; La carte Paris musĂ©es : les expositions en toute libertĂ© ; Inscription Ă  la lettre d'information. facebook twitter instagram dailymotion youtube weibo weixin. Home; Rechercher; Notre-Dame de Paris, livre II, chapitre VII : Une nuit de noces; Notre-Dame de Paris, livre II, chapitre VII : Une nuit de noces Pb : En quoi cette nuit de noces est-elle tragique ? Rappel : l’ironie tragique consiste dans le dĂ©calage existant entre les propos gĂ©nĂ©raux et imagĂ©s que tiennent les personnages et les consĂ©quences concrĂštes et prĂ©cises qui en dĂ©couleront. I/ Un moment intime inquiĂ©tant 1/ Une situation surprenante 2/ Une scĂšne agitĂ©e : le registre fantastique II/ L’ironie. Vay Tiền TráșŁ GĂłp Theo ThĂĄng Chỉ Cáș§n Cmnd. Pour la premiĂšre fois, je signe un article sous un pseudo. Par respect pour mon mari, mes enfants, mes parents... Peut-ĂȘtre pour moi aussi, car en relevant ce dĂ©fi, j’ai dĂ©passĂ© mes propres limites. Faire l’amour avec une femme ? Il y a longtemps que j’y pensais, comme beaucoup d’entre nous peut-ĂȘtre. Comment ça fait ? Est-ce vraiment diffĂ©rent d’avec un homme ? De lĂ  Ă  passer Ă  l’acte... L’alibi d’un article pour Marie Claire, c’était parfait. Mais d’abord, il fallait trouver la femme, et ce ne fut pas simple. Je la voulais belle, enfin Ă  mon goĂ»t, et comme mes deux meilleures amies sont plutĂŽt jolies, c’est vers elles que je me suis tout naturellement tournĂ©e. Dis, ça te dirait de passer la nuit avec moi ? C’est pour Marie Claire... » La premiĂšre a Ă©clatĂ© de rire. Et la seconde, qui avait dĂ©jĂ  essayĂ©, a pensĂ© que coucher avec moi gĂącherait Ă  tout jamais notre amitiĂ©. Alors j’ai dĂ» oser. Ma premiĂšre nuit avec une nuit tout mon corps tressaille Jeudi 22 heures Un vigile m’ouvre la porte et me fait signe d’entrer. L’endroit est sombre, pas trĂšs grand. Je m’installe seule Ă  une table. Champagne ! Autour de moi, tout le monde est en bande. Dans l’ensemble, presque des caricatures, sans Ăąge. Curieusement, je ne suis pas mal Ă  l’aise. Des femmes me dĂ©visagent, mais elles m’indiffĂšrent. Pire, elles m’effraient. Trop viriles. Trop nĂ©gligĂ©es... Minuit Toujours parlĂ© Ă  personne. Je suis sur le point de renoncer, quand soudain, au bar, une apparition une trĂšs jolie fille, la trentaine, cheveux mi-longs et sauvages, la peau trĂšs blanche, une grande bouche trĂšs rouge, des yeux clairs maquillĂ©s en noir, un sourire gigantesque. Un corps de princesse dans un look dĂ©jantĂ©. Soudain, je ne me sens plus Ă©trangĂšre. Je ne sais pas si c’est l’effet du champagne mais mon ventre se serre. Je me lance des copains gays m’ont conseillĂ© d’agir cash ». La fille est installĂ©e au bar, je m’approche. Elle se tourne vers moi et me sourit. Frontale, j’attaque Je m’appelle Luna, et je te trouve trĂšs jolie. » Elle rit des yeux, vraiment dĂ©licieuse Moi, c’est Elsa. T’es pas mal non plus, mais je suis prise. D’ailleurs ma nana ne va pas tarder Ă  arriver, et elle est trĂšs jalouse. Dommage... » Je lui glisse que j’aimerais bien la revoir Je te donne mon numĂ©ro ? » Je lui tends un bout de papier avec mon numĂ©ro de tĂ©lĂ©phone, sur lequel je griffonne Je ne connais pas ce monde des femmes. Tu es la seule qui peut me le faire dĂ©couvrir. Ton couple ne sera pas en pĂ©ril. Passons une nuit ensemble, tu me plais. » Elle plante ses yeux dans les miens. A plus tard... » Deux heures plus tard Effectivement, alors que j’ai regagnĂ© mon lit et ma real life », mon portable vibre. Un SMS Toi aussi, tu me plais. Suis libre demain soir. Tu as mon numĂ©ro, fais-en bon usage. » J’aime le style de cette fille. Toujours pas peur... Le lendemain, je vais droit Ă  l’essentiel Ce soir, hĂŽtel Murano ? 22 heures ? » Elle rĂ©pond d’accord. Presque trop simple... Il me reste quelques heures pour me faire belle, et trouver un alibi pour passer la nuit dehors. Je ne vais quand mĂȘme pas expliquer Ă  mon homme que je pars coucher avec une femme... Vendredi 21 heures Seule au bar du Murano, je m’enivre en douceur. Je prĂ©fĂšre ĂȘtre dans un Ă©tat second... Je porte une jupe, des bas, ma peau est douce et parfumĂ©e, je me sens belle mais bizarre. Comment savoir si je lui plairai ? Difficile d’anticiper le regard d’une femme sur soi quand on ne connaĂźt que celui des hommes. 22 heures SMS Quinze minutes de retard, mais j’arrive. » Je tressaille. Et si je partais ? J’ai tout Ă  coup envie d’un dĂźner en tĂȘte Ă  tĂȘte avec mon homme. Je me raisonne et commande une autre coupe. 22h20 Elle arrive. Encore plus belle qu’hier soir. Talons hauts, jambes nues, une robe portefeuille couleur prune... TrĂšs femme, elle aussi. C’est la premiĂšre fois de ma vie que je trouve une fille dĂ©sirable au point... de vouloir coucher avec elle. Elsa s’installe Ă  cĂŽtĂ© de moi. Elle est drĂŽle et directe. Me raconte qu’elle est chorĂ©graphe, originaire du Poitou, qu’elle a votĂ© SĂ©go et que, parfois, elle s’ennuie Ă  Paris. Moi je lui avoue que je suis journaliste, sans trop m’étendre sur la question. 23 heures Un peu de mal Ă  me concentrer sur la conversation. En fait, j’ai la trouille. Plus Elsa navigue Ă  l’aise, plus je me sens dĂ©calĂ©e. C’est juste une discussion entre filles, mais codĂ©e. Et je n’ai pas les clĂ©s. Une vraie dĂ©butante... pĂ©trie de curiositĂ© et de dĂ©sir pour cette jolie fille qui me drague, mais aussi d’envie de prendre mes jambes Ă  mon cou. Je reste. 23h01 Nous sommes dans l’ascenseur trĂšs sombre, Ă©clairĂ© de quelques paillettes. Elsa s’approche, et vlan, sans un mot, m’embrasse. Ses lĂšvres sont douces. Comme c’est Ă©trange, le contact de cette peau imberbe, cette façon si dĂ©licate de s’y prendre, et ce parfum de fille... J’ai le doit ressentir mon trouble, elle recule, me regarde, lĂ , plaquĂ©e contre la paroi, sourit, et m’embrasse Ă  nouveau. Nous faisons la mĂȘme taille, nos cuisses se frĂŽlent, nos hanches... Pour la premiĂšre fois, je sens des seins contre les miens. Le bas de mon ventre brĂ»le. D’instinct, ma main se glisse Ă  l’intĂ©rieur de sa cuisse. Du satin... Elsa passe la sienne sous mon chemisier, saisit la pointe de mes seins, tout mon corps frissonne. Comme si c’était la toute premiĂšre fois. Laisse-toi aller », me susurre Elsa Ă  l’oreille, comme si elle sentait mes doutes, du bout de ses doigts. Sa douceur me tranquillise. Je prends confiance. Et j’avoue que ça m’effraie. ArrivĂ©es dans la chambre, on se jette sur le lit, en se marrant, comme aux meilleurs moments de l’adolescence. Et le plus naturellement du monde, nous nous prends goĂ»t Ă  ces drĂŽles de baisers, si doux, si sensuels... Je me sens prise dans un tourbillon. Entre un dĂ©sir que je n’imaginais pas, et des pensĂ©es parasites qu’est-ce que je fous lĂ  ? Est-ce que je vais aller jusqu’au bout ? Et c’est quoi, au bout » ? VoilĂ  mĂȘme que surgit la tĂȘte de ma mĂšre, avec sa mimique quand elle braillait Range ta chambre. » Et mon frĂšre qui va tous les dimanches Ă  la messe... Et mon mari, mon Dieu, je l’avais oubliĂ©... Ma premiĂšre nuit avec une nuit J'en veux encore Mais le courant est si fort qu’il m’entraĂźne. Nos lĂšvres ne s’effleurent plus, elles se dĂ©vorent. Nos corps ondulent, flottant sur la mĂȘme vague. Tout ça me paraĂźt si naturel, si Ă©vident... C’est fou comme sa peau est douce sous la robe, j’adore la cambrure de ses reins. J’ai envie d’elle, vraiment, comme je sens qu’elle a envie de moi. Rien Ă  voir pourtant avec le dĂ©sir pour un homme. C’est Ă  la fois plus Ă©pidermique, plus tactile, mais tout aussi tripal. J’ai envie de me fondre en elle, sans la moindre apprĂ©hension. Il doit y avoir quelque chose de fƓtal dans ce dĂ©sir... Mais plus le temps de me poser des questions, je savoure. Ce corps jumeau contre le mien, le frĂŽlement de sa robe contre mes bas, j’en ai la chair de poule. Un champ inconnu de sensations s’ouvre Ă  moi. J’en veux encore. "LĂšche-moi" Elsa a dĂ» le sentir. Elle dĂ©grafe ma jupe. Ses doigts remontent dĂ©licatement le long de ma cuisse. Sa main est chaude, elle m’effleure Ă  peine, je retiens mon souffle. Quand je la sens, sĂ»re d’elle, arrivĂ©e entre mes jambes, j’ouvre les yeux pour mieux mesurer la transgression. Elle aussi me regarde et me sourit. C’est cette crĂ©ature dĂ©licate, qui me caresse et me fait cet effet-lĂ ... Je replonge. Elle s’occupe de moi en artiste. Pour le moment, je la laisse faire, entiĂšrement offerte. Juste, je la dĂ©shabille. TrĂšs excitant, d’ailleurs, de me retrouver dans ce rĂŽle. DĂ©boutonner une robe, dĂ©grafer un soutien-gorge... Ça doit ĂȘtre merveilleux d’ĂȘtre un homme. Entre-temps, Elsa a approfondi son exploration. Et ses doigts qui me pĂ©nĂštrent me donnent envie d’essayer moi aussi. Timidement, je la caresse. Je sens sa main qui saisit la mienne, et me guide. DĂ©cidĂ©ment, elle lit en moi. Curieusement, je me sens soumise, ingĂ©nue, et pourtant, je sais qu’il n’y a pas d’emprise. Pas de rapport de force entre nous. Ses gestes sont doux. Experts. Elle me connaĂźt mieux que moi-mĂȘme, et moi, j’ai de plus en plus envie de plonger en elle, de l’explorer. LĂšche-moi », m’ordonne-t-elle doucement. Je n’ai jamais vu de si prĂšs le sexe d’une femme. Il est Ă©pilĂ© et sent bon. Entre ses cuisses, je m’installe. C’est doux, mes doigts cheminent entre ses lĂšvres et ma langue se glisse. Le goĂ»t est un peu salĂ©, pas acide du tout. Et vlan ! ma conscience revient. Comme une bulle de bande dessinĂ©e qui crĂšve Ă  la surface est-ce bien moi, lĂ , entre les cuisses de cette inconnue ? Oui. Et ça ne me dĂ©plaĂźt pas du tout. Elsa a encore dĂ» sentir mes doutes. Elle se marre. Tu aimes ? » Mais oui, c’est bien ce qui me surprend le plus. La sentir trempĂ©e sous mes doigts, frĂ©mir, durcir, se contracter sous ma langue... Ça me fait vraiment de l’effet. Durant une heure Nous faisons l’amour ainsi, l’une prĂ©cĂ©dant l’autre puis la suivant, mĂȘlant caresses, fous rires, petits mots doux, et tentatives acrobatiques pour rĂ©ussir Ă  coller nos deux sexes frissonnants l’un Ă  l’autre. Moi, je mime tout ce qu’elle me fait, elle pousse mes doigts Ă  l’intĂ©rieur d’elle. Elle me murmure Encore ! » Viens ! » Ose ! » et je fais tout ce qu’elle me dit. Jusqu’au moment oĂč je sens qu’entre ses doigts, sa langue et ses lĂšvres si prĂ©cises, je... jouis, aussi fort, peut-ĂȘtre plus, qu’entre les mains d’un homme, et l’idĂ©e que c’est grĂące Ă  cette fille, m’excite encore davantage. Elle me laisse reprendre mon souffle et recommence, malgrĂ© moi, tout doucement, et je repars... Puis je me blottis contre elle, sans plus aucune peur, ni retenue. Elle me sourit, et doucement guide ma tĂȘte de nouveau vers son sexe, oĂč je me perds dĂ©licieusement, en essayant d’ĂȘtre aussi dĂ©licate qu’elle, aussi attentive. Oui, comme ça » Elle m’aide de ses mots. Puis je la sens Ă  son tour, se contracter tout entiĂšre, et de sa main elle m’intime d’arrĂȘter. J’ai l’impression qu’elle ne respire plus, comme si elle Ă©tait emportĂ©e loin de moi par une vague, je n’ose plus faire un geste. Puis elle revient Ă  elle doucement, et moi je n’en reviens pas de cette violence. C’est Ă©trange, une femme qui jouit... Deux heures plus tard Nos corps sont moites, nos tĂȘtes pendent dans le vide du lit dĂ©fait, et j’éclate de rire. C’est plus fort que moi. Elsa me regarde, dĂ©contenancĂ©e, elle ne comprend pas que c’est de moi que je me moque. Ma douce Elsa, pas convaincue, propose un dans la pĂ©nombre et la mousse dĂ©licatement parfumĂ©e, nous sommes allongĂ©es comme des amantes. Et discutons comme des copines. Elle, son enfance, ses expĂ©riences dĂ©sastreuses avec les mecs, les filles ensuite, et cette femme, rĂ©guliĂšre, depuis quelques mois... Moi, mon hĂ©tĂ©rosexualitĂ© de base, mon homme, la maternitĂ©... C’est doux, intime. Naturel... Nous n’abordons pas la question de demain. Pour moi, c’est l’histoire d’une nuit, une affaire entendue. Enfin, je prĂ©fĂšre. J’aurais peur de l’inverse... A la sortie du bain, Elsa se rhabille et me quitte, presque brutalement. Il faut que j’aille chercher ma chĂ©rie au boulot ! » Moi, je suis vidĂ©e. Trop d’émotions. Elle, est toute guillerette On se revoit quand tu veux ! Et, la prochaine fois, on s’amusera avec des gadgets. » Elle m’embrasse. Un baiser tendre, une langue douce, une derniĂšre fois, et elle disparaĂźt. Moi, je reste lĂ , allongĂ©e seule sur le lit de la chambre d’hĂŽtel, bouleversĂ©e. La prochaine fois ? On verra... Je me lĂšve 3 Ă  4 fois par nuit pour uriner. Que puis-je faire ?Marcel, 64 ansLa rĂ©ponse de l'expertSi vous ĂȘtes un homme et que vous avez plus de 50 ans, il faut voir votre mĂ©decin pour faire un bilan de votre prostate. En effet, un adĂ©nome de la prostate, c'est-Ă -dire une prostate trop grosse entraĂźne souvent ce type de problĂšme. Il existe des traitements efficaces, donc je vous conseille vivement d'en parler Ă  votre mĂ©decin. A lire, notre dossier sur l'adĂ©nome de prostate ou hypertrophie bĂ©nigne de prostate.Vous pourrez y trouver des informations et voir si les signes que vous ressentez ressemblent Ă  cela. Si vous avez moins de 50 ans, il faut tout de mĂȘme aller voir votre mĂ©decin afin de savoir ce qui vous arrive, car il existe aussi des maladies ou problĂšmes au niveau de la vessie pouvant entraĂźner ce type de problĂšme. Notez aussi que l'insomnie peut entraĂźner Ă  aller souvent aux toilettes, simplement parce que le sommeil est trop lĂ©ger. Catherine SolanoMĂ©decinSes convictions Chacun doit ĂȘtre encouragĂ© Ă  prendre en charge sa santĂ© physique et mentale car la mĂ©decine et les mĂ©decins ne peuvent pas tout, loin de lĂ . Et si tout le monde le faisait, les systĂšmes d’assurance maladie feraient du bĂ©nĂ©fice !ConformĂ©ment Ă  nos conditions d’utilisation, les mĂ©decins ne sont pas habilitĂ©s Ă  porter de diagnostic en ligne. Leur rĂŽle est d’éclairer et de proposer des pistes de rĂ©flexion Ă  l’internaute ainsi que des Ă©lĂ©ments d’information sans pour autant poser de diagnostic prĂ©cis. Leurs rĂ©ponses sont gĂ©nĂ©rales et ne doivent en aucun cas, remplacer une visite chez votre mĂ©decin. Recevez chaque jour des conseils d'experts pour prendre soin de thĂ©matiques Le Mag SantĂ© Naturelle SantĂ© Pratique Nutrition Minceur Psychologie Bien-ĂȘtre *Votre adresse email sera utilisĂ©e par M6 Digital Services pour vous envoyer votre newsletter contenant des offres commerciales personnalisĂ©es. Elle pourra Ă©galement ĂȘtre transfĂ©rĂ©e Ă  certains de nos partenaires, sous forme pseudonymisĂ©e, si vous avez acceptĂ© dans notre bandeau cookies que vos donnĂ©es personnelles soient collectĂ©es via des traceurs et utilisĂ©es Ă  des fins de publicitĂ© personnalisĂ©e. A tout moment, vous pourrez vous dĂ©sinscrire en utilisant le lien de dĂ©sabonnement intĂ©grĂ© dans la newsletter et/ou refuser l’utilisation de traceurs via le lien PrĂ©fĂ©rences Cookies » figurant sur notre service. Pour en savoir plus et exercer vos droits , prenez connaissance de notre Charte de ConfidentialitĂ©. Madama Butterfly est un opĂ©ra en trois actes composĂ© par Giacomo Puccini 1858-1924 et reprĂ©sentĂ© pour la premiĂšre fois au Teatro alla Scala de Milan, le 17 fĂ©vrier 1904. Le livret est de Luigi et Giuseppe Giacosa, d’aprĂšs la piĂšce de** David Belasco**, basĂ©e sur une nouvelle de John Luther Long. Ma solitude est vaste comme la mer, plate comme la surface d’un lac, noire comme la nuit et verte comme la bile. »Giacomo Puccini Ă  son librettiste Adami, le 11 mai 1915 **Distribution** Direction - Karel Mark Chichon***Choeur du Metropolitan OperaOrchestre du Metropolitan Opera ** * Madame Butterfly Cio-Cio-San - Kristine Opolais sopranoSuzuki, servante de Cio-Cio-San - Maria Zifchak mezzo-sopranoB. F. Pinkerton, lieutenant de la Marine des Etats-Unis - Roberto Alagna tĂ©norSharpless, consul des Etats-Unis Ă  Nagasaki - Dwayne Croft barytonGoro,* l'entremetteur* - Tony Stevenson tĂ©norLe Prince Yamadori, riche Japonais - Yunpeng Wang barytonLe Bonze,* l'oncle de Cio-Cio-San* - Stefan Szkafarowsky basseKate Pinkerton,* l'Ă©pouse amĂ©ricaine de Pinkerton* - Edyta Kulczak mezzo-soprano**YakusidĂ© ** - Craig Montgomery baryton**Le Commisaire ImpĂ©rial ** - David Crawford basse**L'Officier d'Etat Civil ** - Juhwan Lee barytonLa MĂšre de Cio-Cio-San - Belinda Oswald mezzo-soprano**La Tante de Cio-Cio-San ** - Jean Braham mezzo-sopranoLa Cousine ** - Patricia Steiner sopranoDouleur, l'enfant de Butterfly - Kevin Augustine rĂŽle muet Madame Butterfly **Argument** Acte IUne maison japonaise sur une colline prĂšs de Nagasaki. Le lieutenant de la marine amĂ©ricaine Pinkerton vient de l’acquĂ©rir et il compte y Ă©pouser Cio-Cio San ou Butterfly, une jeune geisha de 15 ans, le matin mĂȘme. L’entremetteur Goro, qui a organisĂ© la vente ainsi que le mariage », fait visiter la maison au nouveau propriĂ©taire. Il lui prĂ©sente les domestiques japonais et en particulier la fidĂšle servante de Butterfly, Suzuki. Sharpless, le consul amĂ©ricain, est invitĂ© aux noces. Il dĂ©sapprouve la conduite de Pinkerton et ce simulacre de mariage. Toutefois, Pinkerton se moque des scrupules de son ami, se dit ensorcelĂ© par la petite japonaise et prĂ©voit dĂ©jĂ , aprĂšs cette brĂšve liaison, d’épouser en vĂ©ritables noces » une amĂ©ricaine. Butterfly arrive, accompagnĂ©e par sa mĂšre et ses amies. AprĂšs les salutations d’usage, Pinkerton fait visiter la maison Ă  sa fiancĂ©e ». Elle y dĂ©pose quelques objets, dont un Ă©tui mystĂ©rieux. Goro apprend Ă  Pinkerton qu’il contient le couteau avec lequel le pĂšre de Butterfly s’est fait Hara-Kiri. Butterfly confie Ă  son futur Ă©poux qu’elle s’est convertie en secret Ă  sa religion. Le reste de la famille et quelques officiels arrivent, la cĂ©rĂ©monie peut avoir lieu. Celle-ci est rapidement expĂ©diĂ©e et le consul Sharpless quitte les lieux non sans avoir encore une fois mis en garde son ami Attention, elle y croit ». Les rĂ©jouissances s’apprĂȘtent Ă  commencer quand l’Oncle Bonze de Butterfly dĂ©barque, furieux, rĂ©vĂ©lant Ă  l’assemblĂ©e que la jeune fille a abandonnĂ© la foi de ses ancĂȘtres. Il la maudit et ordonne Ă  tous de la renier sur le champ. La famille pousse des cris de rĂ©probation et quitte la maison. Pinkerton console Butterfly qui se dit reniĂ©e mais heureuse ». Commence alors leur nuit de noces
 Madame Butterfly Acte I © Acte IIDans la maison, Suzuki prie pour sa maĂźtresse. Pinkerton est parti depuis trois ans, elles vivent Ă  prĂ©sent dans une certaine misĂšre, et Butterfly attend sans rĂ©pit le retour de son mari. Elle refuse de se rendre Ă  l’évidence. Le consul Sharpless arrive, il apporte une lettre de Pinkerton. À la seule vue de la lettre, Butterfly est transportĂ©e de joie. Sharpless est embarrassĂ© car la lettre ne contient pas de bonnes nouvelles pour Butterfly. Pinkerton est bien de retour mais il n’a aucune intention de revenir auprĂšs d’elle. Avant qu’il ait pu lui en dĂ©livrer le contenu, arrive Yamadori, un riche japonais qui demande sans relĂąche la jeune fille en mariage. Celle-ci refuse une fois de plus. AprĂšs le dĂ©part de Yamadori, Sharpless entreprend de lire la lettre Ă  Butterfly qui l’interrompt sans cesse. ExaspĂ©rĂ©, dĂ©sespĂ©rĂ©, Sharpless finit par lui demander ce qu’elle ferait si Pinkerton ne devait jamais revenir. Butterfly chancelle mais se reprend et lui prĂ©sente son petit garçon, nĂ© aprĂšs le dĂ©part de Pinkerton, en demandant si son pĂšre aura le cƓur de l’abandonner. BouleversĂ©, Sharpless promet de transmettre le message et s’en va. On entend le canon du port qui salue l’arrivĂ©e d’un navire. C’est celui de Pinkerton. Butterfly triomphe et ordonne Ă  Suzuki de cueillir toutes les fleurs du jardin pour dĂ©corer la maison. Puis elle revĂȘt sa robe de mariĂ©e, et s’installe avec son enfant et Suzuki derriĂšre une cloison dans laquelle elle a fait trois petits trous pour guetter le retour de son Ă©poux. La nuit est longue, l’enfant et Suzuki se sont endormis. Butterfly, seule, attend toujours
 Kristine Opolais Cio-Cio-San & Roberto Alagna Pinkerton in Puccini’s ©Marty Sohl/Metropolitan Opera Acte IIIL’aube se lĂšve. Butterfly a attendu en vain toute la nuit. Suzuki la persuade d’aller se reposer, lui promettant de l’appeler dĂšs l’arrivĂ©e de Pinkerton. Butterfly part dans sa chambre. Sharpless arrive avec Pinkerton, Suzuki veut prĂ©venir sa maĂźtresse mais ils l’arrĂȘtent. Suzuki aperçoit une jeune femme dans le jardin Kate, l’épouse amĂ©ricaine ». Les deux hommes lui rĂ©vĂšlent qu’ils sont venus pour l’enfant. Pinkerton, accablĂ© de remords et comprenant soudain la cruautĂ© de sa conduite, s’enfuit en laissant Ă  Sharpless le soin de tout arranger. Kate fait promettre Ă  Suzuki d’obtenir l’enfant. Butterfly, rĂ©veillĂ©e, entre et en apercevant le Consul, cherche son mari. Elle dĂ©couvre l’amĂ©ricaine et comprend qu’on lui cache quelque chose. Peu Ă  peu, la rĂ©alitĂ© se fait jour, elle doit renoncer Ă  son mari et lui abandonner leur enfant. Elle accepte Ă  une condition qu’il vienne lui-mĂȘme chercher son fils. Sharpless et Kate partent. Elle ordonne Ă  Suzuki de la laisser seule. Suzuki sort mais laisse entrer l’enfant. Butterfly fait ses adieux et lui bande doucement les yeux, puis elle sort le couteau de son pĂšre de son Ă©tui, lit la devise inscrite sur la lame, et se tue. Pinkerton arrive quand elle rend son dernier soupir. **â–ș Bande-annonce de Madame Butterfly de Puccini ** Pour afficher ce contenu Youtube, vous devez accepter les cookies cookies permettent Ă  nos partenaires de vous proposer des publicitĂ©s et des contenus personnalisĂ©s en fonction de votre navigation, de votre profil et de vos centres d'intĂ©rĂȘt. â–ș Air de Butterfly Un bel dĂŹ, vedremo » - Acte II, extrait de Madame Butterfly de Puccini interprĂ©tĂ© par Maria Callas **Bibliographie** - Madame Butterfly de Giacomo Puccini, Avant-scĂšne opĂ©ra n° 56 Giacomo Puccino de Marcel Marmat - Fayard Puccini de Sylvain Fort prĂ©face de Roberto Alagna - Actes Sud trait rouge **Pour aller plus loin **Le livret en italien et en anglais L’Ɠuvre originale de John Luther Long anglais TRAIT

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